Mots-clés : Alain Lambert, GDE, Guy Dauphin Environnement, Nonant-le-Pin, Wiconnect, SEP, Alain Pelleray, Morin, élections régionales, Alençon, Normandie
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Alain Lambert, l’homme aux bobards
Alain Lambert, notre Pinocchio président du conseil départemental à ses heures, qui enfile le chapelet des mensonges comme on enfile des perles défraie à nouveau notre chronique. Ajoutant une autre facette au Janus à têtes multiples, il se fait Matamore en quelque sorte… :
- Intox : En assemblée plénière du Conseil Général à propos de GDE à Nonant le Pin : « je n’ai jamais signé ce document ». Détox : (il porte pourtant la griffe de notre négateur) Il promet une enquête judiciaire qui ne viendra jamais. Il reconnaît à ce propos : « je ne peux pas le connaître, en même temps c’est la griffe du Conseil Général… ».
- Intox : Quant il affirme que « je n’ai eu connaissance de ce dossier qu’en 2009 ». Détox : Un document du 18 décembre 2007 est signé Alain Lambert.
- Intox : Lorsqu’il affirme à Brice Hortefeux que : « ce site créera 150 emplois dans l’orne ».
- Intox : En assemblée plénière du Conseil Général : « je n’ai signé aucun document de compatibilité ». Détox : Le même document du 18 décembre 2007.
- Intox : A propos de ce courrier qu’il prétend n’avoir pas pu signer : « cette lettre est datée du jour de ma prise de fonction » et de dire : « ce jour là, j’étais sur votre plateau de France 3 ». Détox : L’extrait du site du Conseil Général de l’orne : « Le 14 décembre 2007, Alain Lambert, conseiller général du canton d'Alençon 3, a été élu Président. Il succède à Gérard Burel »... Ce document date du 18 décembre 2007, et non du 14 décembre.
- Intox : Lambert écrit à Nathalie Kosciusko-Morizet pour contraindre le Préfet à prendre rapidement les prescriptions du site de Nonant le Pin : « j’ai écrit à la ministre pour que les opposants puissent déférer ». Puis, plus tard interrogé par un journaliste de France3 Caen : « Je m'interdis d'intervenir sur le cours de la justice et je m'interdis d'infléchir les décisions du gouvernement quelles qu'elles soient ».
- Détox : Lambert écrit dans son courrier à la ministre : « le Gouvernement souhaite le succès de l’économie française, il pourrait en la circonstance veiller à ce que ses représentants ne s’appliquent pas à faire le contraire ».
Concernant les liens entre Alain Lambert et la Famille PELLERAY
- Intox encore : mis en cause dans un reportage d’investigation (pièces à conviction), sur la connaissance que Lambert pouvait avoir des activités de son Chef de Cabinet, Pelleray il fait répondre par son avocat Cyril Fergon: « Alain Lambert ignorait les liens commerciaux entre son Directeur de Cabinet d’alors. Il aurait aimé en être informé mais il n’a pas de raison de suspecter son collaborateur d’une quelconque malhonnêteté ».
- Intox toujours : Alain Lambert affirme à la voix est libre de France3 : « je n’étais pas au courant des activités d’Alain Pelleray… ». Détox : Un courrier signé Alain Lambert invitait un riverain de la SEP (Société de déchets de la Famille Pelleray) qui se plaignait des nuisances à contacter directement Alain Pelleray…
- Détox toujours : Subventions directes du Conseil Général, fonds FEDER, FEOGA, locaux attribués, ainsi que prébendes accordées aux sociétés de la famille et d'Alain Pelleray WICONNECT, SEP, SEP VALORISATION.
Les preuves
Les copies d’écran de vos blogs, de ceux du conseil général, faisaient la part belle aux sociétés des Pelleray d’abord à Thibault Pelleray, Président de la SEP, à la SEP valorisation, puis à Wiconnects... Avec laquelle le Conseil Général a passé des marchés Wimax.
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Alors, Alain Lambert ignorait vraiement que Thibault était le fils d'Alain Pelleray ?... vilain cachottier !...
Alain Lambert 24 juin 2008 at 21 h 42 min
Je suis déçu en effet de voir que malgré toutes les précautions prises, enregistrement des débats, communiqués de presse, des informations erronées peuvent encore être diffusées sur l’accès au haut débit par nos concitoyens. Tout simplement parce qu’on interroge par les décideurs : les élus ! La décision des conseillers généraux était pourtant simple et d’ailleurs unanime : Le haut débit pour tous les Ornais qui le souhaitent, c’est aujourd’hui, et pas en 2013 ! C’est donc dès maintenant que ceux qui souhaitent s’abonner doivent se faire connaître, le choix de la technologie Wimax, filaire ou satellitaire dépendant de la configuration des lieux. Pour tous renseignements complémentaires s’adresser à Alain Pelleray –tel : 02.33.81.60.03.
MATAMORE
Dans l’article il explique : « j’ai immédiatement adressé à chaque conseiller départemental les résultats chiffrés de son canton »… Plus loin ; « j’ai appelé chaque collègue à faire le maximum dans son propre canton pour faire jouer la proximité », plus loin encre : « je me félicite de cette mobilisation ».
Notre Super menteur-Matamore-Président s’il peut aujourd’hui faire un Président, nous a prouvé par le passé qu’il pouvait faire perdre la région à la Droite, demandez à Augier le maire de Deauville le rôle de Lambert en 2010. Alain Lambert, chef de file de la droite avait imposé un seul centriste sur la liste d’union ce qu’a refusé Augier… En se maintenant…
Il est vrai que Lambert et Morin ont au moins un point commun, ils manient l’insulte en duo : Lambert, traite les percherons d’A……, Morin qualifie l’Orne de « trou du cul du monde » ce qui montre la considération de nos duettistes pour les percherons et les Ornais.
Pourtant, pas regardants, les Ornais leur offrent massivement leurs suffrages…
Une question taraude l’entrepreneur et le contribuable que je suis : Qui a payé les appels téléphoniques ou les courriels, d’où a été faite cette mobilisation, du domicile d’Alain Lambert ? Du Conseil Départemental ?... Avec quels moyens logistiques, ceux du Conseil Départemental, et le personnel, s’il y en avait. ?...
On pourrait légitimement s’interroger, lorsqu’on sait que toute la logistique déplacements privés et voyages à l’étranger de M. Lambert ont été faits un temps par une employée du Conseil Général qui s’occupait des réservations et des billets.
Que des employés de l’ancien Conseil Général ont été photographiés travaillant au domicile d’alain Pelleray, Monsieur le Président n’a pas encore pu nous dire si c’était le logement de fonction de M. Pelleray, nous en doutons, car c’était à cette époque le siège des entreprises de traitement des déchets de la Famille, ainsi qu’un temps celle de Wiconnects, la petite société, propriété des Pelleray qui a eu tant de contrats avec le Conseil Général, sans appel d’offres..Nous avons déjà évoqué les activités de « brocanteur » d’Alain Pelleray avec les véhicules du service… Et que dire de l’achat d’une pièce de dentelle au point d’Alençon par le Conseil général, qui a eu un destin bien étrange ? …
Puisqu’il que nous parlons mauvais coups, Alain Lambert, donnez nous les bordereaux de remboursement de la bretelle Champfleur-Valframbert, que vous aviez cofinancé avec la Communauté Urbaine dont vous étiez Président et le département, où vous étiez vice président. Demandez à votre ami Deniaud, alors député et conseiller régional, qui présidait la commission des transports à la Région Basse-Normandie, s’il a été remboursé.
Matamore-super menteur, parjure, Pinocchio, tous ces qualificatifs portent une atteinte insupportable à votre Honneur, de Magistrat, je le conçois; il en est un qui est plus pénalisables que les autres : le parjure. Il semble que vous ayez un temps évoqué une plainte qui conduirait à réparer cet accroc à la toge de vertu dont vous vous êtes parés. « Les poursuites c'est plutôt moi qui vais les engager [...] les dénonciations calomnieuses, cela existe devant les tribunaux [...]. Je voudrais simplement dire que les officines de communication qui sont payées très cher pour diffamer les élus, il serait temps de leur faire un contrôle fiscal. Je ne demande rien du tout, je dis simplement qu'il y a probablement beaucoup d'argent derrière tout ça et que les intérêts cachés ne sont pas là où on croit toujours. »
Alors ces plaintes, elles viennent ? Nous avons conscience que nombre sont prescrites, mais en historien fidèle il me plaira de les évoquer. Vous le juriste émérite ; la prescription du parjure, c’est combien d’année après la commission du délit, vous disiez vous-même au journaliste de France 3 que pour le magistrat que vous êtes, c’est grave, passible des Assises… Que vous demanderiez d’énormes dommages et intérêts, j’en tremble de peur…
Publié sans autorisation du comité de lecture.
René Hamel.
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